Voyager en randonneuse

Infographie construite à partir de 67 réponses (maj avril 2020)

Suite au questionnaire proposé aux voyageurs à vélo, je suis arrivé au résultat suivant pour la randonneuse :

  • Confort : 4 sur 5 (confortable : critère hautement subjectif)
  • Vitesse : 3 sur 5 (moyennement rapide : son équipement et chargement l’empêche d’aller chercher un chrono mais ce n’est clairement pas son objectif)
  • Poids : 3 sur 5 (moyennement lourd : une randonneuse tout équipée ne fait pas partie des vélos les plus légers)
  • Chargement : 5 sur 5 (il est possible de charger lourdement)
  • Polyvalence : 4 sur 5 (passe partout mais en restant vigilant sur terrains accidentés)

Nous avons donc ici un vélo dont les points forts sont le chargement et la polyvalence. En effet, il est possible d’installer de nombreuses sacoches, à l’avant comme à l’arrière sans que le poids ne soit un problème (sauf pour vos jambes, mais ça c’est une autre histoire !). La polyvalence est un aspect important également car, généralement doté de pneus d’une section (largeur) de 28mm à 40mm, la randonneuse peut passer à peu près partout. Il faudra être vigilent tout de même en terrains accidentés.

Un mot sur la matière du cadre. Il s’agit en général d’acier. Cela rend le vélo résistant et durable. Aussi, un acier de bonne qualité aura tendance à amortir les chocs de la route. Une qualité appréciable pour le confort du voyageur. En revanche, lorsque le vélo est très chargé, les vibrations dues à la vitesse peuvent faire bouger le cadre, la fourche avant peut donc devenir un peu instable si chargée à partir de 40km/h.

Côté poste de conduite, l’infographie présente un guidon « course » mais il est possible également d’installer un guidon « papillon » pour une position plus droite et des commandes de vitesses et freins de type VTT / VTC. En voici un exemple avec un des vélos que j’ai moi même monté :

Laissons maintenant la place à quelques avis de voyageur en randonneuse.

« Ayant appris à faire du vélo avec des VTT, puis utilisateur de vélo hollandais en ville, j’avais un doute par rapport au conseil donné de passer sur une randonneuse pour mes voyages. Mais pour mes critères : confort, chargement et routes, c’était le meilleur compromis. Finalement habitué aux commandes « course », je suis très content de ce choix et le recommande à tous ceux qui ont les mêmes objectifs pour leur voyage. » Nicolas G.

Retrouvez d’autres avis en commentaire de l’article, bonne lecture !

N’hésitez pas à laisser votre avis sur le sujet en commentaire : besoin de plus de précisions, avis de voyageur, autre ? Tout partage d’expérience ou questionnement est apprécié !

Et pour finir, voici une galerie de photos de randonneuses, gentiment transmises par leur propriétaire. Cela permet de vous faire une idée des montages possibles. Et si vous aussi, vous souhaitez ajouter votre randonneuse à la galerie, transmettez moi une photo à cette adresse : contact@lesroutesdelatransition.fr

A bientôt sur les routes de la transition !

14 réflexions sur “Voyager en randonneuse”

  1. Ayant opté en 2016 pour le choix d’achat d’une randonneuse destinée à m’emmener aussi bien dans des voyages courts que longs, de préférence sur des chemins balisés et praticables, j’ai établi un relevé reprenant les divers critères techniques (cadre/freins/roues/guidon/tailles) et informatifs (pays de fabrication/couleur/prix) et j’y ai accolé 4-5 randonneuses sélectionnées à partir de sites et de revues spécialisés.

    Sur cette base, j’ai retenu les randonneuses, les randonneuses ‘FM TX800’ et ‘Koga world traveller’, et j’ai pu tester les 2 autour du magasin.

    Les deux me convenaient très bien avec une préférence question confort pour le second, le cadre étant plus grand (54 vs 52, je mesure 1m75) et l’équipement me paraissant plus élaboré (justifiant par ceci un prix légèrement plus élevé mais m’évitant de devoir le compléter par des choix et achats supplémentaires).

    En 2019, j’ai parcouru l’Eurovélo 6 de Nantes à Constanta et n’ai jamais regretté mon choix, au contraire…

    J’espère (et j’ai hâte de) repartir bientôt avec Victor (c’est le nom que je lui ai approprié 😉 et que mon commentaire sera utile pour ton projet.

    Cordialement, jph

  2. Bonjour
    Mon vélo est un VTC Trek que j’ai fait aménagé.
    Sans doute un peu lourd mais très robuste.
    Roues, de 700, renforcées avec des pneus schwable marathon.
    N’étant pas très bricoleur, je préfère la fiabilité à la performance.
    2 sacoches avant et 2 à l’arrière + une petite au guidon et sur le cadre.
    —————————————————————————————————————————–
    J’avais demandé à IGN, si c’était possible d’emprunter les chemins dit « Gravel ». Mais j’avoue que je n’ai pas eu de réponses satisfaisantes. Alors si vous avez des précisions sur ce genre de parcours, je suis preneur.
    Je ne fait pas de vtt et j’évite les chemins trop pentus et techniques.
    Mais, je peux mettre pied à terre sur quelques dizaines ou centaines de mètres si il le faut.
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    J’avais fait un premier périple de 1000 kms dans le sud ouest avec un vtt aménagé et des roues de 600.
    Ayant bien apprécié cette première, malgré le mal aux fesses, j’ai décidé donc d’acheter ce trek.
    en 2019, j’ai fait un mini tour de France qui a duré un bon mois. Un peu de dénivelé dans les gorges de la Loire et la traversée de la Corrèze…. m’ont permis de m’aguerrir un peu et d’être plus régulier et plus efficace, car à la base, je suis plus un coureur et randonneur à pied.
    Le mal aux fesses n’a pas totalement disparu, je pense qu’il faudra que ça se fera progressivement.
    Depuis, je viens d’acheter un petit fourgon, que je suis en train de faire aménager. Retard suite au virus !!!!!! Mais par la suite, je compte bien me faire de nouveaux périples à bicyclette, soit fourgon/bicyclette car j’ai prévu des attaches pour y mettre le vélo.
    Et si les voyages lointains deviennent plus compliqués ou chers, ça sera l’occasion de découvrir plus souvent la France et l’Europe !!
    Bonnes balades à tous les lecteurs et lectrices.
    Amicalement

    1. Les routes de la transition

      Merci Gérard pour toutes ces infos ! Je pense qu’il y a largement de quoi barouder et découvrir en Europe !
      Bonnes routes !

  3. Depuis 4 ans , j’utilise le RANDONNEUR de Fahrradmanufaktur en cyclocamping.
    J’en suis extrêmement content, mais je déplore deux ou trois insuffisances.
    Les braquets sont trop longs pour un vieux de mon âge en cyclocamping : j’ai changé le plateau de 30 pour un de 26 et la cassette 11-32 pour une cassette VTT 11-36, moyennant quoi je peux quand même passer la montagne.
    La fourche aluminium et les porte-bagages avant surbaissés sans arceau commun me semblent un peu léger. J’ai rectifié le tir avec du Loctite frein filet, des rondelles frein et des écrous inox là où c’était possible.
    Une selle cuir de bonne qualité serait un plus, car les longues étapes me font regretter feue ma vieille BROOKS de 45 ans d’âge.

  4. Jean Pierre Besombes

    Bonjour,
    Ne sachant pas au début que j’allais devenir voyageur cyclo campeur, je suis parti sur un VTC Giant, ROAM 3, mais au retour de mon premier petit voyage chargé, 400km sur les bords de Loire j’ai du changer les deux roues qui avaient pris du jeux. J’ai donc monté une roue avant avec moyeux dynamo, changé les plateaux (22/32/44), mis une roue arrière avec une cassette 11/36, une selle SMP (pas gel) et j’ai pu faire ainsi sur 4 ans a peu près 12000km sans problème, sauf fin de l’été dernier où la fourche a commencé a prendre un peu de jeux. Je considère que c’est normal sachant que ce VTC n’est pas conçu au départ pour voyager chargé comme je l’ai fait.
    J’ai donc changé de monture pour une randonneuse Ridgeback Expedition, et là je découvre une grande différence. C’est vraiment un vélo destiné aux voyageurs chargés avec son cadre acier et ses roues de 26 pouces. J’ai gardé ma vielle selle SMP et changé quand même les plateaux pour avoir toujours 22/32/44. Je n’ai fait pour l’instant que peu de km, a peu prés 1500km, mais je suis vraiment enchanté par ce vélo.
    Si ces infos peuvent donner des idées a de futurs voyageurs tant mieux et peut être a bientôt sur les routes………..

  5. Les routes de la transition

    Merci à Dominique pour ce commentaire :

    Salut,

    J’utilise pour ma part un vélo allemand, fabriquant : Patria

    En cyclo-camping, un vélo facile à réparer et entretenir me semble pratique.

    Voici quelques suggestions personnelles :

    Cadre acier car à la fois souple et robuste

    Guidon droit la position me semble confortable pour le dos ( j’ai essayé le guidon » papillon », en réalité j’utilisais toujours la même position).

    Jeux de direction avec un angle à 64° au lieu de 360° cela évite aux sacoches avant d’aller sous le cadre.

    Sacoches les plus lourdes et volumineuses à l’avant et les plus petites à l’arrières pour mieux équilibrer les charges sur le vélo.En effet, si vous mettez tout le poids à l’arrière avec celui du cycliste, le vélo risque de se cabrer.

    Voici quelques idées que j’ai adoptée.

    Cordialement.

    Dominique M

  6. Les routes de la transition

    Merci à Antoine pour ce commentaire :

    Notre choix de vélo de voyage a été fait après des visites chez des vélocystes sans avoir connaissance à l’époque de cyclo-camping international et son réseau. Nous ne connaissions pas les vélo de randonnées. Roulant en vtt à la réunion, nous avons opté, pour notre premier voyage (la descente de la Loire de la source à l’embouchure) pour des vtc.

    Nous avons donc des treck de 29 » avec un guidon papillon, des pneus Schwalbe marathon plus (après avoir beaucoup crevé le long de la Loire), 3 plateaux (26,36,48) et 9 vitesses.

    Les freins sont à disques hydrauliques avec vraiment une sécurité de freinage même chargé et sous la pluie.

    Les gardes boue trop ajustés sont sources de problèmes en cas de boue importante; les porte-bagages arrières sont des « bontraget » montés par le velocyste mais j’ai du changer le porte bagage avant pour un tubus bien mieux adapté (je devais démonter le porte bagage pour changer la roue!!)

    nous pouvons donc avoir 2 sacoches arrières, 2 avant et une sacoche de guidon (+ un sac pour la tente entre les 2 sacoches arrières si besoin)

    Après avoir roulé en vtt 26 » quelle satisfaction de rouler avec un 29 » qui donne une possibilité de vitesse sur route.

    La mousse des guidons est épaisse , heureusement car le vélo en aluminium transmet beaucoup les irrégularités de la route ou des chemins. Mais les possibilités de changement de position sur un guidon papillon sont appréciables.

    Nous avons récemment opté pour des pédales semi-automatiques: le bonheur!!

    Il y a 5 ans ce vélo nous a coûté autour de 700 euros neuf et équipé ce qui me parait très correct pour démarrer. Depuis nous avons remonté le Danube sur 3300km et nous roulons régulièrement à le Réunion, je vais souvent travailler avec! les vélo ont plus de 10 000km.

    l’entretien est relativement facile et j’ai pu me faire la main en l’entretenant complètement, ce qui est une bonne école pour le voyage.

    Je vous précise que mon épouse à le même vélo que moi et elle en est très contente.

    En conclusion , pour démarrer les voyages en Europe, un tel vélo est bien adapté et d’un bon rapport qualité/prix. L’inconvénient par rapport à un vélo de voyage « tout équipé » est que tout doit y être rajouté sans le filetage forcement adapté.

    Antoine L

  7. Les routes de la transition

    Merci à Gabriel pour ce commentaire :

    Bonjour,

    J’ai toujours été habitué à me déplacer sur de vieilles randonneuses Peugeot pour mes déplacements au lycée, puis à la fac, puis au boulot. Malgré les années et les évolutions salariales 😉 je suis resté fidèle à ce type de vélo pour mes déplacement quotidiens. Ainsi, quand il s’est agi d’acheter un vélo de voyage, mon choix s’est également porté sur ce type de géométrie, avec notamment une position un peu plus sportive que sur un vélo à guidon droit. J’avoue que j’avais aussi flashé sur le Génésis pour son look classique ! Ensuite, le Tour de Fer 20 (mon modèle est de l’année 2017 et correspond en équipement au Tour de Fer 30 actuel) m’a également séduit car il était « tout équipé » d’emblée, notamment avec une dynamo et les portes-bagage avant et arrière, jusqu’aux petits détails comme les rayons de rechange. Le seul problème que je soulèverai pour ce vélo est son poids… qui ne le rend pas agréable pour une utilité quotidienne (si vous voulez aussi un vélo-taf…), notamment quand il s’agit de s’arrêter et redémarrer à de nombreux feux de signalisation (oui, oui, même à vélo). En voyage par contre, une fois chargé avec les sacoches, les gourdes (3 emplacements d’origine sur le vélo), les courses pour le bivouac, etc. 2kg de plus ou de moins… je pense que c’est moins important. On peut dès lors aligner les km dans un grand confort ! L’empattement allongé du Tour de Fer rend la conduite certes moins réactive, mais apporte une grande stabilité au vélo, qui ne bronche pas que ce soit dans les descentes en courbes en montagne, ou sur des passages un peu plus Gravel.

    Bref… un bon compromis selon moi pour qui voudrait un vélo prêt à partir ! à un prix restant dans les limites du raisonnable (…)

    Gabriel L.
    Page Facebook : Les avions à vélo

  8. Les routes de la transition

    Merci à Thomas pour ce commentaire :

    Bonjour,

    Voici mon (humble) retour sur les voyages à vélo.

    Pour le choix du vélo je pense qu’il est important de bien prendre connaissance de tout ce qui existe comme différent type de voyages. Voyager tranquillement et confortablement avec une randonneuse bien chargée ou viser un rythme plus soutenu en dormant à peine et ainsi enchaîner les cols avec un vélo et des bagages type bikepacking.

    Si les deux vous tente, c’est intéressant d’avoir un vélo « modulable » En effet les équipements les plus déterminants pour votre type de voyage seront le type de bagagerie ainsi que les roues/pneus selon le terrain et rendement souhaité. C’est pourquoi j’ai opté pour un randonneuse en acier sur lequel je peux mettre des pneus VTT, des pneus type marathon mondial ou l’équipé d’une autre paire de roues profilées en carbone avec des pneus type continental 4seasons en 700×32. Je n’ai qu’à retire les garde-boue et prote bagage pour en faire autre chose.

    Mon cadre est en acier (il est donc souple), à savoir que pour les longues distances, la rigidité du cadre est plus un inconvénient (pré-fatigue musculaire) qu’un avantage (conçu pour faire des relances efficaces, transmettre la puissance sans déformation verticale et un minimum latéral.

    Coté freinage, je ne ferai par contre aucune concession en attribuant mon choix au freinage à disque mécanique. Ils feront le boulot avec un léger rodage et un bon réglage (veiller parfois à tendre le câble au court de votre périple si vous faites des milliers de kilomètres comme j’ai pu le faire, avant de monter (et surtout descendre) le Ventoux.)

    Voila n’hésite pas si il faut que j’éclaircisse quelques points ou évoquer d’autres aspects, j’avais peur d’écrire un roman. Je n’ai quelques millier de kilomètre au compteur question voyage à vélo (contre une bonne dizaine en vélo sportif). Mais l’aspect technique m’amusant énormément j’y ai beaucoup pensé.

    Bien à toi et chapeau pour le boulot !

    Thomas A.

  9. Les routes de la transition

    Merci à Arthur pour ce commentaire :

    Bonjour,

    Voilà comment je peux résumer mes choix de montage :

    Ayant roulé sur tous les types de vélo, notamment des vélos de route bricolés en vélo de voyage, j’ai choisi un montage avec un poste de pilotage typé route sur une base de cadre acier Surtly LHT, en 26 pouces. Cela donne un vélo très robuste et confortable, avec une positon agréable, pouvant même être un peu sportive. L’objectif était de créer un vélo sur lequel on peut rouler toute la journée durant plusieurs semaines, et c’est réussi ! Le moyeu dynamo permet d’être autonome en éclairage et en charge de batterie. Ce vélo peut accueillir un chargement conséquent, tout en gardant une excellente stabilité. Les périphériques
    sont hauts de gammes mais techniquement simples (transmissions et freins V-Brake Shimano XT, shifters en bout de cintre) pour assurer une robustesse maximale sur tout types de terrains. Je recommande ce type de montage pour les longs voyages.

    Arthur H.

  10. Les routes de la transition

    Bonjour Nicolas,

    Pour répondre à ta demande, quelques éléments issus de mes quelques parcours à vélo http://etchelec.free.fr/v2/index.php/le-materiel :

    J’ai choisi un vélo sur mesure monté par Paul Domela de Randocycle (parti à la retraite maintenant). Ce vélo a fait l’objet d’une page de couverture de la revue Cyclo-Camping International été 2015 n°135.

    Le bilan que je retire pour ce vélo :

    Au préalable, il est important de dire qu’il est essentiel d’avoir un cadre à sa taille d’où l’intérêt du surmesure surtout avec un vélo chargé pour s’économiser le plus possible, avec un guidon à deux niveaux de hauteur (très satisfait du guidon corne) pour éviter d’être trop penché en avant (surtout si on a le dos fragile).

    J’ai opté pour un vélo très simple pour pouvoir le cas échéant réparer et trouver des pièces partout dans le monde. La cadre est en acier très bien dimensionné pour le poids (environ 50 kg pour le vélo et les sacoches remplies + le bonhomme 77 kg) et qui est suffisamment rigide pour ne pas faire la godille en pédalant (bien équilibrer le vélo avec 2/3 du poids sur roue arrière et 1/3 du poids sur roue avant). Tout est shimano deore XT sauf les freins que j’ai changés pour remplacer des cantilever qui ne freinaient pas suffisamment par temps de pluie vélo chargé dans les descentes, pour des freins Deore LX beaucoup plus efficaces. J’ai changé aussi la selle Brooks pour une selle SMP trek Gel qui me convient mieux. Les porte-bagages sont en aluminium mais ont beaucoup souffert dans les pistes notamment de la carretera austral et … dans les manipulations avion. J’ai mis un porte-bagage avant supplémentaire pour mettre réchaud et gamelle à part.

    Les sacoches avant et arrière sont identiques (40 litres) de la marque Ortlieb, très solides. Transmissions Deore XT avec 3 plateaux dont un tout petit (22) et 9 vitesses dont 34 dents. Le plus petit développement (1,32 m par tour de pédale) est très utile (je n’ai pas eu à mettre pied à terre même dans les pentes les plus fortes de Thaïlande, des Alpes dolomitiques, de la Carretera Austral). Les manettes des dérailleurs sont à cliquets : très pratique. Les jantes sont très solides mais les roulements tant des jantes que du pédalier pourtant qualifiés d’étanche ont très mal supporté le sel dans la traversée du Salar d’Uyuni. Les pneus ont été de la marque Schwalbe : très solides pour les premiers « marathon » mais de qualité bien moins solide pour les derniers modèles (« mondial » en particulier avec des flancs qui se fendillent). Je vais essayer les Continental Top contact II.

    Depuis plus de 10 ans que j’utilise le même vélo, je n’envisage pas de changer même si petit à petit au fur et à mesure des périples je suis conduit à changer des pièces. Mais le cadre Reynolds 631 est extrêmement solide donc … pourquoi changer !

    Bien amicalement
    André E.
    Site web : http://etchelec.free.fr

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